On a diffusé ce film tellement souvent...en voici les textes de présentation...Selon moi, c'est dans les plus douteux de tous les temps.
Michael Ransom est le meilleur des meilleurs de l’unité spéciale de commando d’élite. Lors d’une mission, il se fait oublier profondément en zone ennemie par ses supérieurs. Là, il sera sauvé par un village de pauvres opprimés et y rencontrera un Demi-Lune au cerveau caramélisé qui répond au nom de Lao. En bon héros américain, Ransom, interprété par le superbe acteur italien Reb Brown, décide de sauver tout le monde. On s’en doute le sauvetage ne se passera pas comme prévu à cause, notamment, du vilain communiste Jacoda. Scénario standard de film de guerre du Viet-Nam de vengeance personnelle de tireurs viet-congs pourris contrôlé par des russes épais stéréotypés, Dernier Assaut est un bijou du genre. Innovateur d’une certaine façon, ce film de 1987 brise les barrières en recyclant, de A à Z, le scénario d’un film Hollywoodien ayant fait ses preuves. Et je veux parler de Rambo II. Et oui, Dernier Assaut est un remake italien bas de gamme de Rambo II. Même séquence de torture sur un sommier de lit électrocuté, même prétexte stupide pour envoyer le héros dans la jungle, soit prendre des photos de prisonniers. Tout comme dans Rambo II, le héros promet à un deuxième rôle de le ramener en amérique. En fait, écouter Dernier Assaut et Rambo II un après l’autre est une excellente façon de débuter l’exploration du douteux audio-visuel. Si on se replace dans ces années bénies, on se souvient que Rambo 2 c’était fort. Fort au point ou quelqu’un a décidé de le plagier. Et pas un peu… Dernier Assaut, Strike Commando, est de ces classiques du domaine qui offre une variété de questionnements à portée de toutes les bourses intellectuelles. Pour ne nommer qu’une particularité…je songe au Demi-Lune. Un deuxième rôle qui vous marquera à jamais. Son cerveau caramélisé manifesté en un grand amour pour les sucreries, les personnages de dessins animés et les Etats-Unis de la liberté. Cet attendrissant personnage maudit d’un décès à rebours saura attendrir notre héros au point de développer une relation unique avec Michael Ransom, l’américain. Mike Ransom…un autre héros avec un nom trop cool, de la lignée des John Mattrix, Mike Danton, Jack Cooper, John Hogan, Bob Violence, Raymond Grabuge, Bill Baxter, et tout ce grand arbre généalogique de l’édulcoré de musclé en bédaine pour rien. On s’en doute, madame Ransom a mis au monde un gars qui a raison, musclé et fort, Michael Ransom, l’américain, est au cœur de l’action et, d’ici 90 minutes, va tout mettre en œuvre pour se retrouver seul personnage, outre l’ínénarable Mike Monty, à survivre au conflit en cours. Faut dire que c’est la guerre froide, la vraie, la pure. Exactement celle que l’on avait dans Rambo 2, soit la vraie pure et dure guerre du Viet-Nam comme dans le vrai monde. Les communistes avec des étoiles rouges; les américains avec la bédaine pour rien. Les uns représentent la liberté; les autres ne savent même pas tirer de leur mitraillette. Les américains sont gentils et impliqués dans les souffrances du petit, très petit peuple Viet-Namien; les rouges sont, simplement mais oh combien, méchants. Comme tous les communistes de tout le temps et pour toujours d’ailleurs comme ici. Dernier Assaut. 1987, Bruno Mattei. Italie. Si on se replace dans ces années bénies, on se souvient que Rambo 2 c’était fort. Fort au point ou quelqu’un a décidé de le plagier. Et pas un peu… Dernier Assaut, Strike Commando, est de ces classiques du domaine qui offre une variété de questionnements à portée de toutes les bourses intellectuelles. Pour ne nommer qu’une particularité…je songe au Demi-Lune. Un deuxième rôle qui vous marquera à jamais. Son cerveau caramélisé manifesté en un grand amour pour les sucreries, les personnages de dessins animés et les Etats-Unis de la liberté. Cet attendrissant personnage maudit d’un décès à rebours saura attendrir notre héros au point de développer une relation unique avec Michael Ransom, l’américain. Mike Ransom…un autre héros avec un nom trop cool, de la lignée des John Mattrix, Mike Danton, Jack Cooper, John Hogan, Bob Violence, Raymond Grabuge, Bill Baxter, et tout ce grand arbre généalogique de l’édulcoré de musclé en bédaine pour rien. On s’en doute, madame Ransom a mis au monde un gars qui a raison, musclé et fort, Michael Ransom, l’américain, est au cœur de l’action et, d’ici 90 minutes, va tout mettre en œuvre pour se retrouver seul personnage, outre l’ínénarable Mike Monty, à survivre au conflit en cours. Faut dire que c’est la guerre froide, la vraie, la pure. Exactement celle que l’on avait dans Rambo 2, soit la vraie pure et dure guerre du Viet-Nam comme dans le vrai monde. Les communistes avec des étoiles rouges; les américains avec la bédaine pour rien. Les uns représentent la liberté; les autres ne savent même pas tirer de leur mitraillette. Les américains sont gentils et impliqués dans les souffrances du petit, très petit peuple Viet-Namien; les rouges sont, simplement mais oh combien, méchants. Comme tous les communistes de tout le temps et pour toujours d’ailleurs comme ici. Michael Ransom est le meilleur des meilleurs de l’unité spéciale de commando d’élite. Lors d’une mission, au Viet-Nam, il se fait oublier profondément en zone ennemie par ses supérieurs. Là, il sera sauvé par un village de pauvres opprimés. Il s’éprendra d’un Demi-Lune au cerveau caramélisé répondant au nom de Lao. En bon héros américain, Ransom, interprété par le superbe Reb Brown, décide de sauver tout le monde. On s’en doute le sauvetage ne se passera pas comme prévu à cause, notamment, du vilain communiste Jacoda. Scénario standard de film de guerre du Viet-Nam de vengeance personnelle de tireurs viet-congs myopes contrôlé par des russes comme les autres, Dernier Assaut est un bijou du genre. Innovateur d’une certaine façon, ce film de 1987 brise les barrières en recyclant, de A à Z, le scénario d’un film Hollywoodien ayant fait ses preuves. Et je veux parler du scénario de Rambo II. Et oui, Dernier Assaut est un remake italien bas de gamme de Rambo II. Même séquence de torture sur un sommier de lit électrocuté, même prétexte stupide pour envoyer le héros dans la jungle, soit prendre des photos de prisonniers. Tout comme dans Rambo II, le héros promet à un deuxième rôle de le ramener en amérique, 2ième rôle qui décédera pour rendre le tout plus intime, plus personnel. En fait, écouter Dernier Assaut et Rambo II un après l’autre est une excellente façon de débuter l’exploration du douteux audio-visuel. Dans ce chef d’œuvre à – 9 vous allez surtout réaliser l’ampleur du talent d’acteur de Reb Brown quand il laisse exploser sa rage!
Moins 9,27
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